Presque 7 ans séparent le séisme de Janvier 2010 et

le passage de l’ouragan Matthew en Octobre 2016

Architectes de l’urgence fait le bilan.

Les Architectes de l’urgence sont présents en Haïti depuis bientôt 7 ans suite au séisme dévastateur du 12 janvier 2010, et ils n’ont eu de cesse d’apporter leur expertise et leur savoir-faire dans la réalisation de plusieurs projets de reconstruction pérenne pourtant insuffisants !

Le bilan de l’action des Architectes de l’urgence :

  • 2000 logements réparés ou reconstruits.
  • 4 écoles reconstruites pour plusieurs centaines d’enfants.
  • 1 orphelinat pour plus de 40 enfants.
  • 13 programmes de réhabilitation, construction et extension de centres de santé ou hôpitaux permettant l’accès aux soins à environ 700 000 bénéficiaires.
  • 4 maternités et plusieurs logements de fonction réhabilités ou reconstruits pour renforcer les services de santé maternelle et de médecine obstétrique.

Architectes de l’urgence se bat, en effet, contre les stratégies, qui visent à favoriser le transitoire au détriment du pérenne, et qui n’ont pas permis une reconstruction suffisante et adaptée malgré des moyens pourtant présents.

Aujourd’hui, Architectes de l’urgence fait face à un nouveau dilemme car ils souhaiteraient apporter un soutien aux victimes du typhon Matthew qui a ravagé des villages entiers dans le sud et du sud-ouest mais cette catastrophe pourtant majeure pour cette région n’a pas suscité d’émoi particulier et les fonds pour reconstruire sont quasi inexistants alors que plusieurs secteurs sont totalement détruits.

Architectes de l’urgence met en œuvre un premier projet de réhabilitation d’école dans cette zone, mais lance un appel aux soutiens pour aller plus loin et porter secours aux milliers de sans-abris.

Pour faire un don : www.archi-urgent.com     

Bâtir des murs pour reconstruire des vies, c’est ce que la fondation effectue depuis 15 ans en permettant aux populations sinistrées à travers le monde, de retrouver rapidement des conditions de logement, de scolarité et de soins, dignes et sécuritaires.